Fin du collège, mes notes se dégradent, la pression sociale devient énorme, mais je m’en fous, j’ai décidé de faire des études supérieures.
L’environnement scolaire est comme une mer de requins, vue depuis la surface, alors qu’on vous y pousse ou que vous y sautez. Une fois dedans, si vous ne devenez pas un des leurs, vous vous faites bouffer. Cette petite chose, ce petit désagrément peut vous conduire à détester l’école ; non pas pour l’enseignement, ni pour le contenu, ni même pour les murs hauts qui vous enferment, mais pour la prison immatérielle de la stupidité adolescente.
Le lycée, mouais... Pas assez carrée, déteste apprendre par coeur, donne les bonnes réponses mais pas le raisonnement, ou pas comme on le demande, même s’il est juste aussi...
C’est là qu’on se rend compte que le groupe vous pousse à ne rien faire. Si vous êtes le seul "bon" dans une classe et que vous aimez parler avec les adultes, vous vous faites descendre. Si vous êtes dans une classe de "bons" mais qu’avoir la meilleure note ne vous importe pas, vos compétiteurs vous descendront, et les profs prendront pitié.
Au final, une personne dont le but est d’apprendre et de comprendre, sans pour autant ressentir le besoin de montrer qu’elle sait tout, eh bien, elle n’a pas sa place dans le système.
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