samedi 30 mars 2013

On nous dit tout... il faut juste savoir écouter.

Contrairement aux idées reçues, je me rends compte chaque jour qu'on ne nous cache pas tout, mais que les informations sont dispersées de manière anecdotique dans les médias. Le tout est de savoir écouter...

Je me souviens de la première fois que j'ai lu ce livre classé dans les fantastique/horreur pour jeune adulte (J'ai lu, Angoisse). L'idée de base était que la ceinture d'astéroïdes de notre système solaire avait été la 5ème planète avant d'exploser et de voir quelques morceaux s'écraser sur Terre avec dose de micro-organismes parasitaires méchants.
Dans ma petite tête, ça a fait tilt, et ça m'a paru d'une logique incroyable. Je ne sais pas si j'obtiendrais un jour des informations vérifiées/vérifiables quand à cette intuition. En attendant, cette info sent juste.

En regardant le film Prometheus, j'ai découvert que ceux que l'on appelle les Bâtisseurs sont appelés Engineers en Anglais. Comme toujours, il faut faire le tri dans les infos. Il semble que ce peuple ressemble plutôt aux fameuses statues Mohaï de l'île de Pâques. Je n'ai pas vraiment apprécié l'énergie générale du film, dont je suis sortie un peu déprimée (pas autant que Melancholia qui nécessite une bonne balade dans la nature ensuite).

Le film Complots est aussi très amusant. La scène d'ouverture est pleine d'informations diverses, à trier, comme toujours.

Je vois aussi passer des livres de science-fiction et de fantasy où le postulat de départ me semble juste. Lorsque j'ai lu la création du monde selon l'auteur du Seigneur des Anneaux, il y avait quelque chose de très familier.
Dans le même genre, la Bible est assez intéressante, bien que les interprétations/traductions divergent et que les degrés de lecture sont... légion.

Ouvrez simplement les yeux, les oreilles, et ressentez ce qui est juste.

jeudi 28 mars 2013

Divagations textuelles

Version française plus bas

Once upon a sorrow
So deep no one could ever show

As if a soul was stuck (in) between, night and day
Between the world of now and yesterday

An angel came to me, without wings nor feathers
This angel came to me with nothing (else) but love
I felt this angel on my shoulder
And I smiled, I just smiled

Here you see, said the woman,
You can remember (from) long ago
You felt perfection in heaven
And now you see but flaws

Once upon a sadness
So cold no one could ever touch
As if my soul was warmed (in) between, night and day
Between the arms of all humanity

Remember, said the woman,
Your angel is with you
Ask him for miracles
And he will make them true
Even if you can’t see
How it looks, it’s meant to be
Keep living, keep loving
Keep breathing, keep shining
It will grant you the key of heaven (on Earth)
      - Idjy

- - -

Il était un chagrin
Si profond que nul ne pourrait jamais le montrer
Comme si une âme était coincée entre, nuit et jour
Entre le monde de maintenant et d’hier

Un ange est venu à moi, sans ailes ni plumes
Cet ange est venu à moi avec rien d’autre que de l’amour
J’ai senti cet ange sur mon épaule
Et j’ai souri, juste souri

Tu vois, a dit la femme,
Tu te souviens d’il y a longtemps
Tu as ressenti la perfection au paradis
Et maintenant tu ne vois que les défauts

Il était une tristesse
Si froide que nul ne pourrait jamais la toucher
Comme si mon âme était réchauffée entre, nuit et jour
Dans les bras de toute l’humanité

Souviens-toi, a dit la femme,
Ton ange est avec toi
Demande-lui des miracles
Et il les réalisera
Même si tu ne vois pas
A quoi ça ressemble, c’est comme ça doit être
Continue à vivre, continue à aimer
Continue à respirer, continue à briller
Cela t’apportera la clé du paradis (sur Terre)
      - Idjy

mardi 26 mars 2013

Oser se quitter


Ce qui est terrible quand on ressent certaines choses, c’est de savoir que pour avancer, certains individus ont besoin de se séparer de leur couple. Attention, si vous le prenez pour vous c’est de la projection ; ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, car je n’ai rien dit et vous ne pouvez pas lire mes pensées.

Beaucoup d’individus sont devenus des première personne du pluriel, des nous. Cette nouvelle entité écrase et remplace les deux précédentes, ajoutant souvent des extensions : enfant, chien, maison, prêt bancaire... Si bien que l’individu ne sait plus exister seul, selon ses termes, ses peurs.

Le fait est que plus le temps passe, plus le conglomérat tient, et a du mal à envisager de se séparer, même si les deux parties ne s’entendent plus. Le couple se résigne. Il vieillit. Il se momifie et les individus survivent dans un stress et une haine perpétuelle,  au point que le ciment du couple n’est plus le sexe mais bien les reproches mutuels.

Cher couple, rappelez-vous que dans tout ça ce sont vos enfants qui souffrent le plus : peu importe l’âge, chacun les veut de son côté et leur déverse dessus les crises de l’un et les manies de l’autre.
En tant qu’enfant de couple séparé par l’insupportable et divorcé dans la colère, je suis heureuse d’avoir pu me débrouiller seule, d’avoir su prendre du recul et d’avoir eu suffisamment de caractère pour ne pas me retrouver écrasée entre deux égos.

Par pitié, n’attendez pas que ça pète pour vous séparer ! N’attendez pas de vous détester ! Pour l’amour de vos proches, séparez-vous d’un accord le plus mutuel possible, expliquez-vous, faites les point !
Ne listez pas les reproches que vous avez à faire à l’autre. Parlez uniquement de vous : ce qu’il vous manque, ce que vous cherchez, ce que vous ressentez. L’autre n’est pas vous, il n’est pas dans votre tête, il n’a pas votre vécu et ne peut pas deviner à tout moment tout ce que vous voulez. Etes-vous capable à cet instant précis de savoir tout ce qu’il pense ?

Ne vous sacrifiez pas non plus. Surtout pas au prétexte que les enfants. Les enfants quoi, d’abord ?! Un enfant ne demande pas que son parent sacrifie son bonheur pour lui. Un enfant est bien plus heureux entre deux parents heureux qu’au milieu d’un couple malheureux (selon le principe même du couple, si l’une des moitiés est malheureuse, le couple entier est à considérer comme tel, NDLR).
L’enfant n’est pas stupide : il sent bien que quelque chose ne va pas. Même un bébé sent la tension en présence des parents.

Mais avant tout, parlez honnêtement et objectivement de votre couple. N’attendez pas que quelqu’un d’extérieur vous dise ce que l’autre attend ; il n’y a pas beaucoup de gens prêts à faire ce sacrifice.


vendredi 22 mars 2013

Divagations textuelles


Porte après porte je marche sous les arcades
Encadrée, sous escorte, peu à peu je m’évade

Mes pas résonnent, comme envoûtés
Le vent les emporte dans l’éternité
Pierre après pierre, au grès des roses
Un air d’épave un peu morose

Puis la porte s’ouvre, et je pars plus loin
Dans les lumières des gyrophares
Ou avec un client sous la main

Heure après heure, je marche sous les arcades
Droguée, à moitié morte, chaque jour je parade


      - Idjy

jeudi 21 mars 2013

Chevaux : ferrage inutile et dangereux


J'ai été interpelée par un article dans le n°85 du magazine Nexus. Attention, c'est de l'information alternative, mais Science et Vie en parlera dans quelques mois je suppose.

Le mythe du fer à cheval s'écroule. Ce que les cavaliers du dimanche comme moi considèrent comme la meilleure protection pour ne pas abîmer leurs jolis petons serait en fait une forme de torture.

J'ai appris dans cet article que le sabot n'était pas juste un ongle insensible, comme le blanc des nôtres : c'est un ongle entier, rose et blanc, en fait. Sous la carapace extérieure il y a tout un réseau sanguin, et le cheval sent le sol à travers son sabot comme nous avec le bout de nos pieds, mais avec une bonne couche de corne dessus (comme mon Papa).

Le fer à cheval est soit normal, genre une basket, soit de rééducation, comme les semelles du podologue. Or, on sait bien que quand on porte des semelles c'est en général parce qu'on s'est bousillé les pieds avec de mauvaises chaussures. On a rarement vu un Massaï qui a marché toute sa vie sans chaussures avoir besoin de semelles !


Le magazine parlait de cas de chevaux boiteux ou qui avaient le pas peu sûr avec le ferrage, qui sont devenus "normaux" en moins de 3 mois après déferrage.
Quand j'avais 12 ans, je me souviens de ce cheval, Maïtor, qui avait les sabots déformés, car ils poussaient trop vite. Il avait donc des fers spéciaux et, de la bouche des propriétaires, il était très doux et avançait lentement parce qu'il avait peur. Peur de marcher ?! On parle d'un cheval, pas d'un poisson !

J'ai juste fait une expérience : plage de sable mouillé, baskets à semelle fine et toute plate. Sur 100m, j'ai failli me casser la figure plusieurs fois. En effet, je ne sentais pas le sol, je ne pouvais pas écarter les orteils, et c'était très frustrant. J'avançais lentement, en regardant mes pieds.
Je suppose que le cheval ferré doit avoir la même sensation. Je déteste aussi marcher sur le bitume, et mettre des fers pour ça je comprends... mais quel plaisir de marcher sur un chemin de terre et sentir les graviers rouler !

Tout comme pour l'humain au pied corné, le cheval a maintenant ses pédicures professionnels. Voici le site de l'Association Francophone du cheval Pieds Nus pour plus d'infos.

mardi 19 mars 2013

Sexisme chez les geeks : allez vous faire des free hugs !

En ce moment, un article fait sensation dans le petit-monde-deviendra-grand du Geek-system (que j'aime les mots qui font genre étude socio de mag féminin).

En lisant ceci, en lisant les réactions de part et d'autre, j'hésite entre me poster au milieu avec un panneau Free Hugs ou sur un transat avec un pot de B&J The Vermonster. Beaucoup s'insurgent, tout le monde relaie, certains s'exclament avec un sourire de vainqueur, d'autres quittent le Parti Pirate...

On en revient aux deux problèmes de base dans l'éducation, ou devais-je dire la domestication des enfants : les filles vivent chez Disney et les garçons ne seront jamais des hommes.

Les filles rêvent d'un mec intelligent, avec un physique à ronronner, avec un sourire avec LED incorporées, et qui sait exactement ce qu'elles pensent (un empathe/télépathe, quoi).
Les garçons cherchent à se prouver au sein du groupe des mâles, que ce soit par la force physique ou intellectuelle.

Avec la disparition des rîtes d'initiation, de passage à l'âge adulte, comment un homme peut-il encore prouver qu'il est un homme ? Face à une Femme de plus en plus libre et dominante, l'homme n'a même plus le monopole du contrôle des naissances (disparu avec la contraception). Un homme peut-il encore satisfaire totalement une femme aujourd'hui ?
Avec la suprématie des icônes Photoshoppées, une femme peut-elle encore être attirée par un homme normal ? Une femme peut-elle encore être suffisamment rassurante pour attirer un homme tout en restant elle-même ?


En tant que gameuse, j'ai passé de très bons moments, et je me souviens avoir eu droit à des "go make me a sandwich". Cependant, pour avoir vécu avec un gameur timide pure souche, je l'ai pris comme "Hé regardez-moi je vais tenter d'entrer en communication avec une femelle humaine, selon la technique qui semble avoir fait ses preuves..." ; ce à quoi j'ai répondu "Pas de souci, dans 15 secondes tu auras un sandwich au personnage de l'adversaire". Respect direct.
C'était il y a quelques années déjà.

Plus j'y pense, plus je vois ici le même schéma qui est apparu avec la génération YouPorn. Ce sont aujourd'hui les petit-frères de nos gameurs un peu patauds qui, ayant tout pris au premier degré, appliquent la technique ancestrale. Grand-frères, allez donc leur botter le cul un petit coup ; pensez à vos futures bébé-gameuses !


Bien sûr, il y a des extrêmes en tout. Nous trouverons toujours le personnage en colère à cause d'années de frustrations, qui déverse sa rage comme il peut, là où il obtiendra une quelconque attention, et peut-être du respect ou de la renommée grâce à ses années d'enfermement. Je ne parle pas d'un sexe en particulier.
Dans la situation actuelle, je ne demanderai même pas d'excuse. Je demanderai un arrêt immédiat des hostilités, afin que certains puissent encore repartir avec une certaine dignité. Si, après cette dernière chance, certains trouvaient encore le besoin de se manifester, cela prouverait qu'ils sont tournés sur eux-mêmes, n'ont aucune notion de la portée de leurs mots, vivent trop loin dans une cyber-réalité où personne ne peut leur faire du mal pour être récupérables.

Je me demande s'il existe des sites de rééducation pour ça. Des endroits où l'on réapprend à Vivre, en communauté.
Je vous dirais bien "Faites l'amour, pas la guerre", mais je pense que ça pourrait être mal pris...

Et voici une petite vidéo d'un mec, pour les mecs...


vendredi 15 mars 2013

S'afficher publiquement

J'aimerais pouvoir faire toutes ces choses. J'aimerais pouvoir partager mes passions. J'aimerais être jugée sur mes compétences et non sur ma personnalité. J'aimerais pouvoir afficher publiquement ce que je suis. Tout ce que je suis.

Si votre chirurgien vous disait que sa passion est la taxidermie. Si votre garde du corps vous parlait de chant lyrique en haute-contre. Si votre boulangère parlait de bondage. Si votre voisine faisait du point de croix pornographique...
J'ai pris des extrêmes, mais le fait est que votre regard change. Vous jugez cette personne, selon des règles sociales établies par on ne sait qui mais qui vont à l'encontre de l'image que vous avez et que vous voulez avoir de cette personne.

Je n'ai pas le droit, pour des raisons professionnelles, de parler de ce que je fais à côté, de ce dont je tire du plaisir. Le pire dans tout ça est que l'on vous juge sur l'idée qu'on a de votre passion, loin de sa réalité : la taxidermie est pratiquée par des gens qui tuent les animaux, le chant lyrique c'est pour les pédés, le bondage est une déviance sexuelle de pervers, le point de croix... euh...

Je parle de Dieu. Oui. Ce mot terrible qui fâche beaucoup de gens. Quand je prononce ce mot, selon les personnes, je suis soit une Catho coincée, soit une illuminée du bocal, soit votre nouvelle meilleure amie. Me demandez-vous si je fais référence à un dogme ? Cherchez-vous à savoir ce que j'associe à ce mot ? Vous demandez-vous ce que je veux dire ?
Je parle de médecine alternative. Oui. Cette pratique terrible qui fâche beaucoup de gens. Me questionnez-vous sur mon expérience ? Me demandez-vous comment j'en suis arrivée à tenter ma chance au-delà de l'allopathie ?
Je parle de bonheur. Oui. Ce concept terrible qui fait tant d'envieux. Cherchez-vous à savoir comment je l'ai trouvé ? Avez-vous seulement envie de le trouver ?
Le fait est que, quand quelqu'un est plus proche du soleil que vous, il est bien plus facile de le faire tomber que de grimper pour le rejoindre.

Si vous devez juger une personne, jugez-la sur ses actes et ses non-actes. Nous sommes tous capable de tout, alors pour quoi agissons-nous, ou pas ?

mardi 12 mars 2013

Se mettre à la place des autres


Ah ! Que je connais bien ce principe. Il nous est répété depuis la plus tendre enfance : Mets-toi donc à sa place !
Aujourd’hui, je me rends compte que ce principe est erroné, et contre-productif.

Commençons par un exemple simple :
Si j’étais à ta place, je m’inquiéterais.
On peut aussi reformuler ainsi : Si j’étais toi, je serais inquiète.
Moi n’a aucune raison de s’inquiéter. Je dis raison parce que c’est bien là le souci : se mettre à la place de quelqu’un parle de passion (réaction subjective, émotionnelle) et non de raison (réaction objective, logique).
En analysant la phrase, on se rend compte d’une chose : la place n’est pas celle de qui l’on croit.
Permettez-moi de reformuler : Si tu étais moi, tu serais inquiète.

Or, le fait est qu’on n’est pas l’autre. Il est tout simplement impossible d’être l’autre. L’autre est un complexe composé de bagages et de peurs qui nous sont inconnues, et qu’il ne reconnaît souvent pas lui-même.
A quoi sert donc cette phrase ? Tout simplement à distiller une peur en vous. Une peur qui vous était étrangère jusqu’à cet instant. Et comme le plus souvent vous connaissez l’autre et avez confiance en lui, ça fonctionne.

Le principe de se mettre à la place de quelqu’un implique avant tout de faire un ensemble de suppositions sur ce que l’autre ressent, pense, son mode de fonctionnement et ses réactions primaires. Ceci va à l’encontre du troisième accord Toltèque, et vous pourrit intrinsèquement la vie.

Ne perdez donc pas votre temps à vous mettre à la place des autres. A moins d’être super-empathique ou télépathe, vous n’avez pas la moindre chance d’y arriver de manière juste. Personne ne pense exactement de la même manière que vous (en termes de processus).
Mais surtout, quand on vous fait une remarque de ce type, n’en faites pas une affaire personnelle : c’est une projection de l’autre sur vous ; une projection n’est rien sans support où se fixer.

samedi 9 mars 2013

Citation du jour

"Vous êtes né avec le droit d'être heureux.Vous êtes né avec le droit d'aimer, de vous réjouir et de partager votre amour. Vous êtes vivant, alors embrassez votre vie et appréciez-la."

    - Don Miguel Ruiz (in Les Quatre Accords Toltèques)

mercredi 6 mars 2013

Les extra-terrestres sont parmi nous !

Entre les 21 décembre 2012, les Zombie Apocalypse et autres alarmes, j'ai aussi vu passer des articles sur la présence possible/probable/certaine des aliens sur notre planète. J'ai réfléchi à comment je réagirais si la nouvelle était annoncée officiellement au journal de ce soir.

La négation
C'est pas possible ! C'est une farce ! On est déjà en avril ?!

La colère
Quoi ? Tu est un alien ?! Donc je en suis pas cinglée ! C'est à cause de toi si ça n'a pas marché entre nous !!!
OU ENCORE
Mais vous pouviez pas le dire plus tôt ?!

Le marchandage
Vous pourriez pas rentrer chez vous ? C'est déjà tellement difficile de draguer des humains de base... Alors si en plus les seuls mecs cools sont des aliens...

La tristesse
Pourquoi ? Pourquooooooooooiii ?!

L'acceptation
Bon soit. On fait quoi maintenant ?


D'une manière plus réaliste, je pense que je me contenterai d'une mise à jour sur Facebook : "Je vous l'avais bien dit...". (Note pour tout à l'heure : prendre les paris, histoire de se faire un petit pécule...)
Je remercie pour cela la TV, qui nous matraque d'aliens depuis les années 60. Des gentils, des moins gentils, des méchants, des gros cons... Men in Black, magnifique documentaire sur la gestion terrestre des populations aliens. Star Trek, nouvelle publicité du Ministère de la Défense sponsorisée par l'UCPA.
Je  me souviens de la série Alien Nation (qui est tirée d'un film de 1988) qui m'avait marqué par le côté très quotidien de son intrigue, par rapport à l'intégration de la population extra-terrestre dans la nôtre.

Et après ?
Après, c'est le bordel...

samedi 2 mars 2013

Smoking weed, meditation and spirituality

I recently started to offer my point of view and some help on the Spirit Science Forums. On this particular topic, I have no active/voluntary experience in smoking weed. However, I spent some time discussing with a regular, who had similar issues about quitting, and here is what you can do if you do not feel ready to quit yet, but are willing to improve.

When you smoke, dedicate your joint to awareness, to the seeking of Truth and greater consciousness etc. Smoke it when you are alone (or go some other place). Feel it. Take your time. Be fully conscious of what happens inside you, body and mind. Focus, and shut your phone down.
Roll it as you would perform a sacred ritual. Keep the herbs in a nice box. Keep the box in a place you consider as a temple, sacred.

When weed is not directly available in front of you, like open on the table, the need is less present. You will not be like "Hey, my hands are empty, let's roll a joint" and then "Hey, got a joint in my hand, let's smoke it".
When you smoke consciously, you know why you do it, not just  because "friends around" or "feeling lazy" or "partying".

I personnaly am against the use of drugs that weaken your mental defenses. Yes, you get higher, quicker. Yes, you are more open to the spiritual world.
You have no idea what can get inside when you are so open and unaware... Many lost souls wait near bars at closing hours, just to get inside a new body, drunk and defenseless.

You need no force of will to work it out. All you need is diligence. Make the dedication a habit and half the job is done.

Keep true to yourself. If you do something, know why you do it physically, mentally and spiritually, and live with it.