Porte après porte je marche sous les arcades
Encadrée, sous escorte, peu à peu je m’évade
Mes pas résonnent, comme envoûtés
Le vent les emporte dans l’éternité
Pierre après pierre, au grès des roses
Un air d’épave un peu morose
Puis la porte s’ouvre, et je pars plus loin
Dans les lumières des gyrophares
Ou avec un client sous la main
Heure après heure, je marche sous les arcades
Droguée, à moitié morte, chaque jour je parade
- Idjy
Aphrodyte serait-elle venue te rendre visite ?
RépondreSupprimerSi c'est le cas, on peut parler de prémonition ! Ce texte date de ma période "2005-2007", où je passais mes journées près d'un parc entouré d'arcades en grès rose, et peuplé...
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