Actuellement, ils sont débordés :
infirmiers, médecins, aides divers et dans toutes les spécialités.
La qualité des soins s'en ressent. Leur qualité de vie aussi, au
point d'en voir de plus en plus en arrêt... maladie !
Il existe une solution binaire :
augmenter le nombre de soignants ou diminuer le nombre de malades. On
le sait depuis longtemps. On ne se fait pas appeler « Patients »
pour rien...
Augmenter le nombre de soignants, c'est
augmenter le nombre de fonctionnaires. Eh oui, dans le Public, on est
gratuits, on est fonctionnaires. Or, un fonctionnaire c'est un
budget. Je suis incapable de vous donner un chiffre – ce n'est pas
mon métier – mais l'estimation la plus proche est
« ouhhhhh-la-la ! ». Le Budget n'aimerait pas.
Diminuer le nombre de malades, cela
signifie garder les gens en bonne santé. C'est faire de la
prévention. C'est éduquer la population sur l'impact de la
diététique, de l'environnement immédiat (entretien de
l'habitation, chauffage...) et surtout sur la stupidité de la mode !
Si ma grand-mère voyait toutes ces jeunettes les reins à l'air en
plein mois de décembre, ou se promener en T-shirt dès que la
température dépasse les 15°C en avril, elle vous dirait qu'il ne
faut pas s'étonner des épidémies de grippe et autres maladies !
On se revoit dans 10 ans pour parler des écouteurs ; pensez à
prendre votre sonotone...
Bon, le souci reste entier : les
lobbies pharmaceutiques n'aimeraient pas.
Un Président qui voudrait faire le
bien de la population serait alors tiraillé entre couler le pays en
l'endettant ou se mettre à dos la plus grosse industrie du monde (si
ce n'est pas encore la plus grosse, ne vous inquiétez pas, mes
assomptions seront valides un jour). Tricky...
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