Parfois, j'écris des histoires drôles, ou moins drôles. Parfois ça passe. Parfois, c'est nul.
En voici une :
Un couple de cochons se promène, quand soudain ils se font recouvrir d'immondices : ils sont tout sales !!!
Comment réagissent-ils ?
La cochonne rit et le cochon s'tait.
samedi 27 août 2011
mercredi 24 août 2011
Comment choisir sa machine à coudre
On m’a plusieurs fois demandé des conseils pour choisir une machine à coudre.
Pour bien choisir, l’important est de se poser les bonnes questions...
Voici un petit quizz qui vous permettra de trouver votre partenaire de couture idéale :
1) Que voulez-vous faire avec ?
a. Plein de choses ! Des vêtements, des accessoires, des costumes, les rideaux...
b. Travailler des tissus épais (ameublement, toile denim, cuir...)
c. Vous ne savez pas trop, mais vous en avez assez de coudre à la main
Réponse :
a. Ne vous emballez pas trop vite ! Une machine, c’est un peu comme une pub Tampax : on vous dit que vous pouvez faire plein de choses avec, mais si vous n’êtes jamais montée à cheval, ce n’est pas ça qui va vous y aider !
Commencez par une machine de base, sans électronique, peu importe la marque. Vous n’avez pas BESOIN des points fantaisie. Même les machines de base ont maintenant 8 points différents, des choses que l’on n’utilise jamais !
Mon choix : Promo chez Lidl, 70€
b. Pour ce type de travail, vous devez déjà regarder dans les marques. La mécanique doit pouvoir passer quasiment 1cm sous le pied de biche, et tenir le coup. Une machine de base, en général, passe 4mm.
Pour la mécanique, préférez les marques Suisses ou Allemandes : comme en électroménager et en horlogerie, c’est ce qui tient le mieux. Bien sûr, une machine de ce genre fera quasiment tout. Evitez cependant l’électronique : ça tombe en panne en premier.
Mon choix : Pfaff ou Bernina, 200 à 300€
c. Mieux vaut ne pas investir trop. Il se peut que ça vous énerve et que vous laissiez tomber rapidement. Commencez avec une machine de base, et vous verrez bien si vous avez besoin de plus (en général, au bout de 4 ou 5 ans, ou quand elle casse parce que vous avez essayé de faire un ourlet de jean avec des renforts en toile de store).
Mon choix : Promo chez Lidl, 70€
2) A quelle fréquence allez-vous l’utiliser ?
a. Tout le temps ! J’ai plein plein plein de choses à faire !
b. Un après-midi par-ci, par-là
c. Usage quasi-professionnel, plusieurs fois par semaine
Réponse :
a. C’est beau, l’enthousiasme. Soyons franches : vous allez commencer à l’utiliser, vous énerver et la ranger dans un placard. Encore pire si vous prenez une grosse machine qui nécessite 15mn pour l’enfilage et la mise en marche.
Vraiment, restez sur un modèle de base, en plastique qui sera donc vite sorti et vite rangé.
b. Prenez un modèle pas trop encombrant et en plastique (plus léger que le métal) qui se range vite.
c. Tapez dans la marque. Il vous faut une mécanique résistante, donc du semi-professionnel.
Mon choix : Pfaff ou Bernina tout mécanique, 300€
3) Allez-vous prendre des cours de couture ?
a. Oui, c’est pour ça que vous en voulez une
b. Non, vous voulez bidouiller dans votre coin
c. Non, vous en avez déjà pris pendant plusieurs années
Réponse :
a. Si vous débutez, prenez toujours une machine basique. J’ai appris sur une machine avec 2 molettes de réglage : longueur du point et largeur du zigzag. C’est tout ce dont vous avez besoin.
Si si ! Vous pouvez assembler, surpiquer, froncer, coudre de l’élastique, faire des froufrous et des boutonnières, juste en jouant avec ces deux molettes ! Si vous apprenez à faire simple, vous saurez ensuite utiliser n’importe quelle machine, et travailler avec des noeuds si la marche-arrière est cassée.
Chez moi, j’avais une machine avec 8 points, marche-arrière et boutonnière : j’ai mis 2 ans avant d’utiliser la marche-arrière, et je n’ai jamais utilisé plus de la moitié des points (point droit centré, point droit décalé à gauche, zigzag, mini-zigzag).
Mon choix : Bernina, modèle ancien en métal, ou Promo chez Lidl
b. La bidouille restera de la bidouille : un livre ne remplacera jamais un professeur, qui connaît des astuces et vous montrera comment préparer vos tissus, comment les choisir, comment réparer les bourdes. N’espérez pas faire un pantalon avec poches et braguette zippée que vous puissiez porter dans la rue. C’est dur à entendre, mais c’est la réalité.
Mon conseil : prenez des cours, ne serait-ce qu’une année !!!
c. Bravo ! Entre collègues, je vais juste vous donner mes impressions : j’ai testé une électronique avec une sorte de direction assistée pour les courbes, et un bouton "Point d’arrêt" ; c’est très pratique, silencieux et agréable. Ce genre de modèle va tout de suite chercher dans les 1000€, et vous demande de lui remettre de l’huile à tout bout de champ (comme un chat sa pâtée). Je ne lui ferai pas passer le test des 8 épaisseurs de jean, de peur de la casser.
Il y a 2 ans, je me suis offert un complet chez PFAFF : machine mécanique semi-pro (Hobby 1132, 299€) et une surjeteuse 5 fils, qui est en fait une recouvreuse (Cover Style, 799€). La combinaison des deux est très pratique, bien que longuette à mettre en place, et encore plus à maîtriser (je parle de la surjeteuse et sa pince à épiler).
Pourquoi une 5 fils et pas juste 4 ? Vous ne changez pas de surjeteuse tous les 4 ans. Prendre une 5 fils offre la possibilité d’évoluer encore vers la production en petite série, même si vous utiliserez principalement le surjet.
Résumé :
- Voyez simple : une machine de base, on lui demande de coudre droit et de faire des zigzags. N’importe quelle marque à moins de 80€ fait l’affaire (tant qu’il y a une pédale).
- Voyez léger : pour pouvoir la sortir et la ranger en un rien de temps.
- Voyez ce dont vous avez besoin : pas la peine de prendre une brodeuse 25 points avec lecteur mp3 si vous voulez faire des habits Barbie.
- Voyez les marques Suisses et Allemandes pour de la mécanique longue durée (Pfaff et Bernina sont mes préférées).
Pour bien choisir, l’important est de se poser les bonnes questions...
Voici un petit quizz qui vous permettra de trouver votre partenaire de couture idéale :
1) Que voulez-vous faire avec ?
a. Plein de choses ! Des vêtements, des accessoires, des costumes, les rideaux...
b. Travailler des tissus épais (ameublement, toile denim, cuir...)
c. Vous ne savez pas trop, mais vous en avez assez de coudre à la main
Réponse :
a. Ne vous emballez pas trop vite ! Une machine, c’est un peu comme une pub Tampax : on vous dit que vous pouvez faire plein de choses avec, mais si vous n’êtes jamais montée à cheval, ce n’est pas ça qui va vous y aider !
Commencez par une machine de base, sans électronique, peu importe la marque. Vous n’avez pas BESOIN des points fantaisie. Même les machines de base ont maintenant 8 points différents, des choses que l’on n’utilise jamais !
Mon choix : Promo chez Lidl, 70€
b. Pour ce type de travail, vous devez déjà regarder dans les marques. La mécanique doit pouvoir passer quasiment 1cm sous le pied de biche, et tenir le coup. Une machine de base, en général, passe 4mm.
Pour la mécanique, préférez les marques Suisses ou Allemandes : comme en électroménager et en horlogerie, c’est ce qui tient le mieux. Bien sûr, une machine de ce genre fera quasiment tout. Evitez cependant l’électronique : ça tombe en panne en premier.
Mon choix : Pfaff ou Bernina, 200 à 300€
c. Mieux vaut ne pas investir trop. Il se peut que ça vous énerve et que vous laissiez tomber rapidement. Commencez avec une machine de base, et vous verrez bien si vous avez besoin de plus (en général, au bout de 4 ou 5 ans, ou quand elle casse parce que vous avez essayé de faire un ourlet de jean avec des renforts en toile de store).
Mon choix : Promo chez Lidl, 70€
2) A quelle fréquence allez-vous l’utiliser ?
a. Tout le temps ! J’ai plein plein plein de choses à faire !
b. Un après-midi par-ci, par-là
c. Usage quasi-professionnel, plusieurs fois par semaine
Réponse :
a. C’est beau, l’enthousiasme. Soyons franches : vous allez commencer à l’utiliser, vous énerver et la ranger dans un placard. Encore pire si vous prenez une grosse machine qui nécessite 15mn pour l’enfilage et la mise en marche.
Vraiment, restez sur un modèle de base, en plastique qui sera donc vite sorti et vite rangé.
b. Prenez un modèle pas trop encombrant et en plastique (plus léger que le métal) qui se range vite.
c. Tapez dans la marque. Il vous faut une mécanique résistante, donc du semi-professionnel.
Mon choix : Pfaff ou Bernina tout mécanique, 300€
3) Allez-vous prendre des cours de couture ?
a. Oui, c’est pour ça que vous en voulez une
b. Non, vous voulez bidouiller dans votre coin
c. Non, vous en avez déjà pris pendant plusieurs années
Réponse :
a. Si vous débutez, prenez toujours une machine basique. J’ai appris sur une machine avec 2 molettes de réglage : longueur du point et largeur du zigzag. C’est tout ce dont vous avez besoin.
Si si ! Vous pouvez assembler, surpiquer, froncer, coudre de l’élastique, faire des froufrous et des boutonnières, juste en jouant avec ces deux molettes ! Si vous apprenez à faire simple, vous saurez ensuite utiliser n’importe quelle machine, et travailler avec des noeuds si la marche-arrière est cassée.
Chez moi, j’avais une machine avec 8 points, marche-arrière et boutonnière : j’ai mis 2 ans avant d’utiliser la marche-arrière, et je n’ai jamais utilisé plus de la moitié des points (point droit centré, point droit décalé à gauche, zigzag, mini-zigzag).
Mon choix : Bernina, modèle ancien en métal, ou Promo chez Lidl
b. La bidouille restera de la bidouille : un livre ne remplacera jamais un professeur, qui connaît des astuces et vous montrera comment préparer vos tissus, comment les choisir, comment réparer les bourdes. N’espérez pas faire un pantalon avec poches et braguette zippée que vous puissiez porter dans la rue. C’est dur à entendre, mais c’est la réalité.
Mon conseil : prenez des cours, ne serait-ce qu’une année !!!
c. Bravo ! Entre collègues, je vais juste vous donner mes impressions : j’ai testé une électronique avec une sorte de direction assistée pour les courbes, et un bouton "Point d’arrêt" ; c’est très pratique, silencieux et agréable. Ce genre de modèle va tout de suite chercher dans les 1000€, et vous demande de lui remettre de l’huile à tout bout de champ (comme un chat sa pâtée). Je ne lui ferai pas passer le test des 8 épaisseurs de jean, de peur de la casser.
Il y a 2 ans, je me suis offert un complet chez PFAFF : machine mécanique semi-pro (Hobby 1132, 299€) et une surjeteuse 5 fils, qui est en fait une recouvreuse (Cover Style, 799€). La combinaison des deux est très pratique, bien que longuette à mettre en place, et encore plus à maîtriser (je parle de la surjeteuse et sa pince à épiler).
Pourquoi une 5 fils et pas juste 4 ? Vous ne changez pas de surjeteuse tous les 4 ans. Prendre une 5 fils offre la possibilité d’évoluer encore vers la production en petite série, même si vous utiliserez principalement le surjet.
Résumé :
- Voyez simple : une machine de base, on lui demande de coudre droit et de faire des zigzags. N’importe quelle marque à moins de 80€ fait l’affaire (tant qu’il y a une pédale).
- Voyez léger : pour pouvoir la sortir et la ranger en un rien de temps.
- Voyez ce dont vous avez besoin : pas la peine de prendre une brodeuse 25 points avec lecteur mp3 si vous voulez faire des habits Barbie.
- Voyez les marques Suisses et Allemandes pour de la mécanique longue durée (Pfaff et Bernina sont mes préférées).
lundi 22 août 2011
Humour du soir, bonsoir !
Parfois, j'écris des histoires drôles, ou moins drôles. Parfois ça passe. Parfois, c'est nul.
En voici une :
Qu'est-ce que le chanteur de U2 en uniforme de bagnard, et qui permet de bien dormir ?
Un Bono-rayé.
En voici une :
Qu'est-ce que le chanteur de U2 en uniforme de bagnard, et qui permet de bien dormir ?
Un Bono-rayé.
vendredi 19 août 2011
Je dois... Il faut... Yakafokon !
C’est une constante au bureau. C’est une constante à la salle de sport. C’est une constante en famille. C’est une plaie face au miroir : nous avons droit à des conseils appuyés, des demandes ordonnées, et des solutions qui commencent toutes par cette danse de rugbymen néo-zélandais... à moins que... bref !
Ça vous énerve ? C’est normal.
Pour y remédier, il suffit de visualiser !
Exemples :
"Il faut me rendre ce dossier pour..." et un grand coup de faux, un ! Schlack !
"Tu dois finir ce truc..." et c’est un honneur, un doigt d’honneur ! Gnnnnnaaaaaaa !!!
Ça, c’est pour le fun. Parce qu’on se souvient toujours mieux en riant.
Plus sérieusement, vous savez pertinemment que quand vous devez ou qu’il faut faire quelque chose, ça en devient immédiatement terrible, lourd, chiant... n’ayons pas peur des mots !
Or, si vous écoutez les mots, vous découvrez que vous pouvez (le pouvoir, c’est bon), vous voulez (c’est magique, faites un voeu), vous avez envie (en vie, he’s aliiiiiiiive!) et vous avez besoin (non, pas de jeu de mot, vous en avez besoin, c’est tout).
Changer ses habitudes, c’est difficile. Essayez de ne plus demander aux gens qu’avec ces mots (au lieu de ces "maux"). Vous verrez que cela déclenche une sorte d’engagement de la part de votre interlocuteur, et le résultat est parfois meilleur, et l’impression laissée est moins agressive.
Exemples à méditer :
"Il faut que je perde 10kg." contre "J’ai besoin de perdre 10kg."
"Je dois perdre 10kg." contre "Je VEUX perdre 10kg."
Je ne sais pas pour vous, mais j’ai la musique de Rocky dans la tête, alors que le sujet ne me concerne même pas : j’ai la rage de vaincre soudainement... Yes !
Bien sûr, vous aurez toujours besoin d’un minimum de volonté.
Rappelle-toi, cher lecteur, que tu dois juste respecter quelques principes sim... (et si vous n’êtes pas en train de faire un doigt à vôtre écran, relisez l’article depuis le début).
jeudi 18 août 2011
Le jeudi, c'est Brasil à Bruxelles...
Maryangela a ouvert La Cantina dans le quartier gay. Elle a ouvert l’autre Cantina sur l’avenue Louise.
La cuisine brésillienne servie ici, c’est la samba dans ta bouche, c’est la Caipirinha dans le jardin, c’est un déco à couper le souffle.
Tout ce restaurant n’est qu’un immense atelier d’artiste, de la peinture dedans-dehors, des statuettes de Jésus et de la Vierge partout... Tout est dépareillé, les tables sont anciennes et on peut même manger sur une bobine industrielle de câble recyclée en table ronde !
On s’y sent bien !
Tout le personnel est d’origine locale avec l’accent chantant qui va avec. Parfois un peu difficile de se faire comprendre, mais la patronne est là au besoin.
Il n’y a aucun menu imposé : vous choisissez ce que vous aimez.
De 34€ pour le plat-dessert-boisson, à 52€ pour la totale avec une demi-bouteille de vin, la qualité est au rendez-vous.
Une fenêtre donne même sur la cuisine, pour pouvoir vérifier l’hygiène à loisir.
Le deuxième dimanche du mois, un brunch dansant de 12h à 17h, ambiance do Brasil !
L’autre Cantina
117, Chaussée de Vleurgat
1050 IXELLES
02/644.97.77
Tram 94, Vleurgat
www.lautrecantina.com
mardi 16 août 2011
Petit guide de contrôle des femmes à l’usage des hommes frustrés (2/2)
Ce que vous, l’homme, en pensez :
Vous n’aimez pas danser
Vous voulez le pouvoir, oui ou non ?
Apprenez à danser, elles seront toutes à vos pieds.
Elle(s) n’aime(nt) pas danser
Que nenni ! Toutes les femmes aiment se sentir guidées dans des bras sûrs. Si elle dit non une fois, redemandez avec un petit sourire ; si elle dit encore non, contentez-vous d’un "allez !" ; la troisième fois, si elle n’a pas dit oui, dites "tant pis", et demandez à la fille la juste à côté d’elle.
Ça marche à chaque fois.
Vous ne savez pas danser
Prenez des cours.
Les écoles de danse sont tout le temps en recherche de partenaires masculins pour ces femmes qui aiment danser mais dont le compagnon, s’il y en a un, n’aime pas "les trucs de fille".
Vous avez la grâce d’un éléphant tétraplégique
Chewing-gum. Pensez comme un chewing-gum, et dites-vous que remuer vos fesses ne fait pas de vous une "tafiole", et qu’au contraire vous aurez de belles fesses bien fermes et que vous serez moins lourd, sur tous les plans.
De toute manière, qu’avez-vous à perdre ? Vous remuez vos fesses dans un cours où tous les hommes présents ont vécu cette expérience déroutante. Prenez ça comme l’échauffement de votre vie : vous pourrez bientôt danser un marathon !
Et surtout : écoutez et regarder votre prof.
Non, vraiment, vous n’êtes pas fait pour ça...
Comme qui dirait, retournez en cuisine et faites-lui un sandwich.
Il vous faut un sergent instructeur bien viril pour vous engueuler afin que vous recommenciez à tortiller du cul en rang ?!
Vous n’allez jamais en soirée dansante : c’est pour les vieux !
Il y a de plus en plus de soirées Rock et Swing qui sont organisées pour les 25-40 ans. Quand sur la piste vous savez danser un rock et avez le courage d’inviter une femme (elles sont toutes là dans l’espoir de danser), peu importe votre tête, tant que vous n’êtes pas puant et dégoulinant, vous avez une chance.
Vous pouvez aussi profiter des musiciens de rue : proposer à une femme de danser à l’improviste, c’est déroutant mais très appréciable. Quand à la fin du morceau, vous vous faites applaudir et que madame est toute gênée, vous la prenez par le bras en souriant : bingo ! (on ajoute le clin d’œil au musicien en passant)
Ça fait 10 ans que vous allez en boîte et inviter des femmes à danser ça ne fonctionne pas
En boîte, c’est souvent disco ou électro. Le principe de ces musiques c’est de danser seul, en formant un cercle avec ses amis, ou de se coller au beau-gosse torse-nu.
Le concept de la danse de salon c’est d’avoir les mains sur le partenaire, sans que ce soit dans sa petite culotte, et en tout bien tout honneur, et à une distance suffisante pour ne pas sentir ce que l’on ne veut pas sentir (moiteur, clope, érec... trousseau de clés).
En danse de salon, le "mec lourd" n’existe pas. Tout d’abord parce qu’il est difficile d’être saoul et de tenir sur des chaussures à semelle cuir ; ensuite parce que votre but est avant tout de passer un moment de plaisir et d’amusement, sans arrière-pensée, sur la piste.
Une piste de danse est le meilleur endroit pour mettre une femme à bout de souffle, l’entendre crier de plaisir avec un sourire jusqu’aux oreilles, et en redemander.
Elle ne sait pas danser
C’est le moment de jouer sur le fantasme du professeur : mettez-vous dans un coin de la piste, montrez-lui les pas de base en lui tenant les mains puis, après une minute, prévenez-la qu’elle va tourner.
C’est dans la poche !
Toutes les femmes sont des princesses, quelque part au fond d’elles. Nous rêvons toutes d’avoir au moins une fois une de ces robes qui vous font ressembler à une meringue, et de se trouver au milieu d’une piste, vidée car les gens se poussent pour vous regarder.
Ce moment magique, c’est un cadeau que seul vous pouvez nous faire... Alors, merci.
Vous n’aimez pas danser
Vous voulez le pouvoir, oui ou non ?
Apprenez à danser, elles seront toutes à vos pieds.
Elle(s) n’aime(nt) pas danser
Que nenni ! Toutes les femmes aiment se sentir guidées dans des bras sûrs. Si elle dit non une fois, redemandez avec un petit sourire ; si elle dit encore non, contentez-vous d’un "allez !" ; la troisième fois, si elle n’a pas dit oui, dites "tant pis", et demandez à la fille la juste à côté d’elle.
Ça marche à chaque fois.
Vous ne savez pas danser
Prenez des cours.
Les écoles de danse sont tout le temps en recherche de partenaires masculins pour ces femmes qui aiment danser mais dont le compagnon, s’il y en a un, n’aime pas "les trucs de fille".
Vous avez la grâce d’un éléphant tétraplégique
Chewing-gum. Pensez comme un chewing-gum, et dites-vous que remuer vos fesses ne fait pas de vous une "tafiole", et qu’au contraire vous aurez de belles fesses bien fermes et que vous serez moins lourd, sur tous les plans.
De toute manière, qu’avez-vous à perdre ? Vous remuez vos fesses dans un cours où tous les hommes présents ont vécu cette expérience déroutante. Prenez ça comme l’échauffement de votre vie : vous pourrez bientôt danser un marathon !
Et surtout : écoutez et regarder votre prof.
Non, vraiment, vous n’êtes pas fait pour ça...
Comme qui dirait, retournez en cuisine et faites-lui un sandwich.
Il vous faut un sergent instructeur bien viril pour vous engueuler afin que vous recommenciez à tortiller du cul en rang ?!
Vous n’allez jamais en soirée dansante : c’est pour les vieux !
Il y a de plus en plus de soirées Rock et Swing qui sont organisées pour les 25-40 ans. Quand sur la piste vous savez danser un rock et avez le courage d’inviter une femme (elles sont toutes là dans l’espoir de danser), peu importe votre tête, tant que vous n’êtes pas puant et dégoulinant, vous avez une chance.
Vous pouvez aussi profiter des musiciens de rue : proposer à une femme de danser à l’improviste, c’est déroutant mais très appréciable. Quand à la fin du morceau, vous vous faites applaudir et que madame est toute gênée, vous la prenez par le bras en souriant : bingo ! (on ajoute le clin d’œil au musicien en passant)
Ça fait 10 ans que vous allez en boîte et inviter des femmes à danser ça ne fonctionne pas
En boîte, c’est souvent disco ou électro. Le principe de ces musiques c’est de danser seul, en formant un cercle avec ses amis, ou de se coller au beau-gosse torse-nu.
Le concept de la danse de salon c’est d’avoir les mains sur le partenaire, sans que ce soit dans sa petite culotte, et en tout bien tout honneur, et à une distance suffisante pour ne pas sentir ce que l’on ne veut pas sentir (moiteur, clope, érec... trousseau de clés).
En danse de salon, le "mec lourd" n’existe pas. Tout d’abord parce qu’il est difficile d’être saoul et de tenir sur des chaussures à semelle cuir ; ensuite parce que votre but est avant tout de passer un moment de plaisir et d’amusement, sans arrière-pensée, sur la piste.
Une piste de danse est le meilleur endroit pour mettre une femme à bout de souffle, l’entendre crier de plaisir avec un sourire jusqu’aux oreilles, et en redemander.
Elle ne sait pas danser
C’est le moment de jouer sur le fantasme du professeur : mettez-vous dans un coin de la piste, montrez-lui les pas de base en lui tenant les mains puis, après une minute, prévenez-la qu’elle va tourner.
C’est dans la poche !
Toutes les femmes sont des princesses, quelque part au fond d’elles. Nous rêvons toutes d’avoir au moins une fois une de ces robes qui vous font ressembler à une meringue, et de se trouver au milieu d’une piste, vidée car les gens se poussent pour vous regarder.
Ce moment magique, c’est un cadeau que seul vous pouvez nous faire... Alors, merci.
dimanche 14 août 2011
Petit guide de contrôle des femmes à l’usage des hommes frustrés (1/2)
L’histoire nous montre que le mâle a petit à petit perdu le pouvoir viril qu’il pouvait exercer sur le célèbre "sexe faible".
Le passage à la monogamie souhaité par la Chrétienté aura eu raison du lion dormant tout l’après-midi en attendant que sa troupe revienne du supermarché avec un zèbre ou un orignal.
La découverte du plaisir féminin a créé des exigences inédites, ne laissant qu’aux plus talentueux et/ou éduqués de la gent masculine le droit de satisfaire les dames de la cour – voyez le Vicomte de Valmont.
Avec la deuxième guerre mondiale, la femme a été obligée à travailler comme un homme. Le mâle en rentrant s’est donc retrouvé avec un collègue pourvu d’un vagin ; un vagin, ça déconcentre. Par conséquent, le travail du mâle est devenu moins précis et moins productif, confortant la femme dans son sentiment de supériorité intellectuelle, et bientôt physique (oui, travailler, ça muscle aussi les bras).
Puis dans les années soixante, avec la création des contraceptifs, le maître de la reproduction s’est retrouvé incapable de se reproduire à son bon vouloir ; heureusement que le sexe a compensé, rejoint bientôt par pléthore de maladies vénériennes.
Enfin, dans les années quatre-vingt, Michel Sardou a pointé du doigt des seins encore jamais vus à de telles hauteurs : les gratte-ciels de New-York ou à La Défense. Voici que la Femme a mis les pieds dans le cadre !
Comme les hommes, les femmes sont sensibles à la cuisine, mais vous ne pouvez pas contrôler une femme uniquement via son estomac – de manière légale, on s’entend. La femme ajoutera souvent son grain de sel, reprenant ainsi le contrôle sur votre tentative, d’un goût parfois douteux.
Le vrai pouvoir passe par le rêve.
Pas besoin de vacances dans les îles, de diamant ou de dizaines de roses ; il vous faut juste une bonne paire de chaussures avec des semelles en cuir.
S’il y a bien un secteur ou l’homme garde le contrôle et où la femme se laisse contrôler, c’est la danse de salon.
Que ce soit une valse, un tango ou un rock, ici, l’homme est roi, l’homme décide, la femme suit, de sa propre volonté et avec plaisir !
Le passage à la monogamie souhaité par la Chrétienté aura eu raison du lion dormant tout l’après-midi en attendant que sa troupe revienne du supermarché avec un zèbre ou un orignal.
La découverte du plaisir féminin a créé des exigences inédites, ne laissant qu’aux plus talentueux et/ou éduqués de la gent masculine le droit de satisfaire les dames de la cour – voyez le Vicomte de Valmont.
Avec la deuxième guerre mondiale, la femme a été obligée à travailler comme un homme. Le mâle en rentrant s’est donc retrouvé avec un collègue pourvu d’un vagin ; un vagin, ça déconcentre. Par conséquent, le travail du mâle est devenu moins précis et moins productif, confortant la femme dans son sentiment de supériorité intellectuelle, et bientôt physique (oui, travailler, ça muscle aussi les bras).
Puis dans les années soixante, avec la création des contraceptifs, le maître de la reproduction s’est retrouvé incapable de se reproduire à son bon vouloir ; heureusement que le sexe a compensé, rejoint bientôt par pléthore de maladies vénériennes.
Enfin, dans les années quatre-vingt, Michel Sardou a pointé du doigt des seins encore jamais vus à de telles hauteurs : les gratte-ciels de New-York ou à La Défense. Voici que la Femme a mis les pieds dans le cadre !
Comme les hommes, les femmes sont sensibles à la cuisine, mais vous ne pouvez pas contrôler une femme uniquement via son estomac – de manière légale, on s’entend. La femme ajoutera souvent son grain de sel, reprenant ainsi le contrôle sur votre tentative, d’un goût parfois douteux.
Le vrai pouvoir passe par le rêve.
Pas besoin de vacances dans les îles, de diamant ou de dizaines de roses ; il vous faut juste une bonne paire de chaussures avec des semelles en cuir.
S’il y a bien un secteur ou l’homme garde le contrôle et où la femme se laisse contrôler, c’est la danse de salon.
Que ce soit une valse, un tango ou un rock, ici, l’homme est roi, l’homme décide, la femme suit, de sa propre volonté et avec plaisir !
vendredi 12 août 2011
De l’influence des jouets...
Aujourd’hui, j’ai trié mes jouets, histoire de faire de la place dans la cave. J’ai surtout ouvert le carton dit "de Barbie" pour les rhabiller, les mettre en sachet et les vendre.
Avec le recul, je me dis que si je suis celle que je suis aujourd’hui, c’est grâce à Barbie. Blonde à forte poitrine sur-maquillée en talons aiguille et qui ne porte pas de culotte? Juste une nana avec du tempérament, qui profite de ce qu’on lui offre mais ne se laisse pas entretenir.
Pourquoi ? Parce que pendant que Barbie faisait sa p*** sur le yacht de Ken, Sindy faisait de la descente en rappel, se faisait poser des mèches roses et oranges, avait des rangers et surtout, surtout, des orteils et des abdos dessinés !
C’est fou de se dire que ma préférence était principalement due au dessin de son nombril. Mais au final, je sais que j’affirmais simplement mon dédain pour le "mainstream". Je ne voulais pas être "une Barbie de plus". D’ailleurs, la dernière Barbie que j’ai achetée, c’était à mes 12 ans : la réédition de la rouquine de 1957, pin-up à la peau diaphane, qui donnait l’impression de vouloir mettre un pain à la blonde pour lui apprendre qu’on peut sourire la bouche fermée.
J’avoue que j’adorais passer mon balai rose, descendre la pente dans mon 4x4 à pédales, faire des bonbons gluants dans le laboratoire et découper des fleurs en papier. Avoir le choix c’est essentiel. C’est l’enfant qui fera l’adulte. Vos jouets vous ont faits. Certains sont même devenus des professionnels du jeu !
J’ai toujours voulu montrer ma différence. Sans Sindy, qu’aurais-je été ? Une joueuse d’autre chose... Sûrement un jeu de garçons (j’avais épuisé beaucoup de trucs de fille).
Maintenant, je me demande... Sindy a-t-elle viré lesbienne en arrivant chez Hasbro ?
jeudi 11 août 2011
Comment devenir riche
Je suis tombée par hasard sur le blog d'un charmant coach, qui nous montre qu'en fait, le management, c'est un vrai métier. Alors, quand il s'agit de se manager soi-même, c'est souvent un désastre !
Je viens de commencer à le lire, et chaque article me rappelle quelqu'un. En voici un bien sympathique, valable pour plus de 98% des personnes que je connais sur Paris.
Bonne lecture, et bonne entreprise !
Je viens de commencer à le lire, et chaque article me rappelle quelqu'un. En voici un bien sympathique, valable pour plus de 98% des personnes que je connais sur Paris.
Bonne lecture, et bonne entreprise !
lundi 8 août 2011
Métro c’est trop ! (améliorer son temps de correspondance)
Toutes les personnes qui ont déjà pris le métro parisien savent que le plus dur est de passer d’une ligne à l’autre, notamment aux grands carrefours tels que les gares, Nation ou République.
En effet, pour éviter l’engorgement des couloirs, la RATP ne vous indiquera jamais le plus court chemin ! Tout est calculé pour que les gens ne se croisent pas...
Voici quelques raccourcis ; n’hésitez pas à ajouter les vôtres !
République, ligne 5 dir. Sud vers ligne 8 dir. Créteil
Descendre à l’avant du train. Suivre le panneau "Sortie 1-2-3-4" et monter les escaliers. Prendre à droite et suivre "M8". Vous arrivez par l’escalier à l’avant du train.
Transit time: 40 secondes
Nation, ligne 1 dir. Est vers ligne 2
Descendre à l’avant du train. Suivre le panneau "Sortie - Guichet" et monter les escaliers. Prendre à droite et suivre "M2". Vous arrivez par l’escalier à l’avant du train.
Transit time: 30 secondes
samedi 6 août 2011
Orgueil et préjugés...
Il y a quelques temps déjà, je suis arrivée à la conclusion que l’orgueil était une notion inventée par des jaloux. J’y ai repensé récemment en lisant Krishnamurti.
Souvent, quand je fais quelque chose de bien, je dis que je suis fière de moi, que je suis géniale. Là, en général, quelqu’un ajoute à mon bonheur personnel un : « ...ça va les chevilles ?! ». J’ai fini par juste faire un énorme sourire à ces gens, et à considérer que ce commentaire est fait par pure convention, instaurée il y a longtemps par des jaloux incapables.
L’orgueil est le fait de s’attribuer les mérites d’un talent considéré comme un don de Dieu. C’est d’avoir une opinion très avantageuse de sa propre valeur au détriment de la considération d’autrui, car autrui se sent rabaissé voire humilié...
La fierté, c’est la même chose, sauf qu’on y enlève le rapport à l’autre. Ici, pas question d’humilité.
Dans le roman L’épée de Vérité (Terry Goodkind), il existe un peuple qui a poussé le concept de l’humilité à l’extrême : on ne doit rien faire qui pourrait blesser quelqu’un dans son égo en lui montrant qu’on fait quelque chose de mieux que lui. Parce que mon gâteau au chocolat a meilleur goût que le tiens, tu peux me faire enfermer et torturer. Au final, personne ne fait rien, et tout le monde en veut à tout le monde pour la simple possibilité que l’autre soit capable de quoi que ce soit.
Krishnamurti explique bien que la fierté est légitime. Il prend l’exemple d’un tableau que l’on peint et pour lequel on vous félicite. L’orgueil apparaît lorsque vous allez chercher la reconnaissance de ces mêmes personnes pour votre second tableau, et que vous vous détournez si l’accueil n’est pas le même que pour le premier.
Quand je dis que je suis fière de moi, que je suis géniale, je ne cherche pas de comparaison. C’est comme dire que je suis belle : je ne suis pas plus belle ou moins belle, je m’aime telle que je suis, que d’autres me trouvent belle ou non.
Alors oui, mes chevilles vont bien et iront toujours aussi bien, car j’ai décidé de ma propre valeur, et je n’attends pas qu’on me conforte ou non dans cette opinion. Les personnes qui critiquent ce que vous pensez de vous-même, souriez-leur, car elles ont sûrement une piètre opinion d’elles-mêmes, et se sentent agressées par le fait même que quelqu’un puisse être heureux.
Continuez d’être fier de vous. Ne cherchez pas l’approbation d’autrui. Faites ce que vous aimez, et faites-le bien, afin que cela vous rende heureux.
vendredi 5 août 2011
Comment choisir son eau minérale (5/5)
Quelles eaux pour qui ?
Contrairement aux eaux minérales, vous ne verrez jamais de contre-indication sur les eaux légères. Souvent, elles sont même recommandées pour les bébés et par les associations de déficients rénaux. Elles sont donc bonnes pour toute la famille !
Où et combien ?
Dans les eaux très faiblement minéralisées (officiellement moins de 30 mg/L, mais je monte à 35 mg sinon le choix est vraiment limité), on trouve aussi bien des marques vendues en magasin bio, que des eaux bon marché. Les écarts de prix vont du simple au triple.
Dans les eaux chères (plus de 0,60€ pour 1,5L), j’ai trouvé :
- Rosée de la Reine
- Mont Roucous
- Spa (en Belgique)
Puis vous avez les sources Montcalm et Metzeral, vendues par les sous-marques des grandes surfaces (Cristalline, Eco+...) à moins de 0,20€ la bouteille. Vous avez aussi la Fontaine de la Reine, ou encore Volcania qui font aussi l'affaire.
Mon porte-monnaie préfère les sous-marques !
Il existe aussi l’eau osmosée, la plus pure mais aussi très chère, car elle nécessite une machine à domicile. Ma favorite au goût, mais il me semble qu’elle pose aussi un souci écologique à cause du sel utilisé pour la transformation. Il est aussi déconseillé de la stocker dans des bouteilles en plastique.
Bon, vous aurez compris ma propagande pour les eaux légères... Si j’en suis arrivée à ces conclusions, c’est par ma propre expérience et par des rencontres. Je ne suis pas médecin et je n’ai pas vocation à le devenir. Les eaux minérales ne sont pas mauvaises pour la santé ; mais comme pour tout, l’abus est dangereux.
Si vous passez à une eau légère et que vous avez peur des carences, allez donc chez un médecin ou un naturopathe qui vous proposera des compléments alimentaires adaptés, à prendre aux repas.
Au final, mon seul conseil est : essayez !
Donnez-vous 7 jours avec cette eau, "...et ça se voit à l’extérieur !".
mardi 2 août 2011
Comment choisir son eau minérale (4/5)
Boire pour maigrir
J’ai vu des personnes faire un régime qui consistait à boire de l’eau froide pour la soif, et boire de l’eau chaude pour la faim en-dehors des repas. En général, elles gonflaient purement et simplement.
Petit test : appuyez quelques secondes sur l’intérieur de votre bras, puis regarder à quel point la peau devient claire. C’est de la rétention d’eau.
Si le corps retient une grande quantité d’eau, c’est qu’il a besoin de diluer un poison (toxines, produits chimiques...). Pour vérifier si c’est bien ça, pesez-vous un matin, et passez la journée sans boire quoi que ce soit (évitez de faire ça par temps de canicule ou le jour du sport). Votre poids n’aura pas diminué en fin de journée.
Dans ce cas, faire un régime seul est inutile, car votre poids vient de l’eau avant de venir du gras : il est nécessaire de purifier l’organisme d’abord.
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